This content is blocked due to privacy reasons, you need to allow the use of cookies.
This content is blocked due to privacy reasons, you need to allow the use of cookies.

Mise en contexte

Depuis près de 100 ans...

Depuis près de 100 ans, les familles se regroupent et travaillent pour l’épanouissement des membres qui les composent. Ce mouvement a éventuellement mené à la naissance de l’Action Communautaire Autonome Famille (ACAF) telle qu’on la connaît aujourd’hui.

Les organismes communautaires dans le secteur famille font partie de ce mouvement qui défend, soutient, accompagne et valorise les familles.

Bien que les organismes communautaires qui œuvrent auprès des familles jouent un rôle essentiel auprès de celles-ci, leur travail n’est pas suffisamment (re)connu.

D’ailleurs, le travail des organismes communautaires du secteur famille demeure très peu étudié au Québec.

Le GRACeF souhaite s’inscrire dans ce mouvement qui reconnaît les familles comme l’unité de base de la société. Le GRACeF s’est constitué en 2022 et a été reconnu comme une équipe de recherche en partenariat et financé par le Fonds de recherche du Québec – société et culture (FRQSC) en 2023.

Mission

Le GRACeF a pour mission de contribuer à faire connaître et reconnaître l’action communautaire auprès des familles par le biais d’activités de recherche et de mobilisation des connaissances.

p26 Illustration

Principes directeurs

Reconnaissance des différents types de savoirs

Engagement envers, avec et pour les familles et les organismes

« Nos deux principes directeurs sont intimement reliés. C’est en considérant l’importance des savoirs expérientiels et pratiques que nous pouvons valoriser la participation des organismes et des familles à la recherche. »

Valeurs

Nous présentons les valeurs en paires. Nous considérons que l’une constitue une condition pour l’émergence de l’autre : la réflexivité constitue une condition pour l’engagement; le respect pour la reconnaissance; et la solidarité pour la justice sociale.

Réflexivité et engagement

Une posture réflexive demande d’exercer notre esprit critique (social et académique) afin de mieux reconnaître et identifier les inégalités. En prenant conscience des positions de chacun·e (comment chaque personne et/ou groupe de personnes se situe l’un par rapport à l’autre) et en reconnaissant les différents enjeux de pouvoir, nous pouvons plus facilement nous engager dans des activités qui vont dans le sens d’une plus grande justice sociale. Cela permet de se mettre en action dans une perspective de changement et de transformation sociale.

Respect et reconnaissance

Le respect et la reconnaissance se traduisent dans l’action par des moyens de communication inclusifs, une écoute intéressée, une considération de l’unicité de chaque individu et organisme ainsi qu’une ouverture d’esprit pour des pratiques et des manières de faire qui sortent de la norme. En reconnaissant les différentes expertises et formes de savoirs, nous souhaitons, entre autres, tendre vers un meilleur équilibre épistémique.

Solidarité et justice sociale

Ces valeurs se traduisent dans nos actions par une attention particulière aux éléments qui sont souvent laissés de côté, comme le savoir expérientiel et l’intervention informelle, pour que ceux-ci soient mis en lumière. Également, nous sommes solidaires avec les organismes et les familles avec lesquels nous travaillons : nous partageons leurs préoccupations (p.ex. des enjeux sociétaux – comme la crise du logement, la pénurie de garderie, etc. – des enjeux sociaux – discrimination, inégalités, manque de pouvoir) dans le but d’agir de manière soutenante vers une plus grande justice sociale.

Nous utilisons des cookies pour vous aider à naviguer efficacement et à exécuter certaines fonctionnalités.